27 novembre 2009
Eté.
La mort t'a rendu fantasme, et chaque réalité ramène à ton absence. Chaque nuit tu reviens, et chaque jour tu meurs à nouveau, Ton sourire est une chimère, ta vie est devenue poussière ; je te sens dans l'air, autour de nous ;
Je pense à la mer qui a pris nos souvenirs, et à ceux que je déforme à ton nom Seule à garder et à te regarder. Je mélange ici sensualité et ombre Sombre corps qui s'évanouie en moi.
Parfois, l'imagination brûlante de la condition "Si tu étais là?", me fait vivre,
Quelques éphémères instants où ton corps se partage enfin en particules fantômes...
Le vent de la mer étrangle ta voix, qui disait "je suis bien, là, avec toi".
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