12 mars 2010
Vide
Passe le temps, je gribouille, J'attends le mot, définir le silence, Je dis, fais, je ne tire aucune conclusion, A tout ce que je pense j'écris MERDE. Aux sentiments, désirs, je me retire. Tristement, je comprends le vide, la constatation d'un espoir indicible ... J'oublie ton nom, j'oublie le mien et que cesse toute représentation : perception perpetuelle et circulaire. L'observation n'est pas une suffisance, il me faut des mots, des mots des mots. J'écris TOI et je ne me souviens plus ni pourquoi ni comment j'en suis arrivé là.
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